Théopopettes
Parlotte des Théopopettes « Encore une minute ! »
Auditoire de Calvin Place de la Taconnerie 1, Genève, SuisseL’ennui, les écrans Arrêter un jeu vidéo: ce n’est jamais le bon moment. On aimerait continuer, encore et encore. Et que faire de l’ennui qui vient dès que l’on se détache de l’écran? Livre des Théopopettes n°3 : “Encore une minute !”
Parlotte des Théopopettes « Les baskets à l’envers »
Auditoire de Calvin Place de la Taconnerie 1, Genève, SuisseLa confiance en soi Aujourd’hui, Théo se sent « nul »: il a mis ses chaussures à l’envers, il a raté tous les buts au foot et il a égaré le téléphone de son papa. Mais le fond du problème est que Théo n’aime plus aller à l’école : il y a dans sa classe,… Lire la suite »Parlotte des Théopopettes « Les baskets à l’envers »
Parlotte des Théopopettes « C’est trop dur ! »
Auditoire de Calvin Place de la Taconnerie 1, Genève, SuisseL’effort Pourquoi faut-il faire des efforts: à quoi cela sert-il ? Et pourquoi nos efforts ne sont- ils pas toujours récompensés, contrairement à ce que l’on nous dit ?
Parlotte des Théopopettes « C’est moi le monstre »
Auditoire de Calvin Place de la Taconnerie 1, Genève, SuisseLa peur Les peurs… certaines sont drôles, douces parfois, d’autres sont terribles et paralysantes. Si l’on observait d’un peu plus près le phénomène: pourquoi a-t-on peur du noir, du loup, des gens différents de nous ? L’occasion de faire un petit tri sur les idées reçues.
Parlotte des Théopopettes « Qui je suis moi ? »
Auditoire de Calvin Place de la Taconnerie 1, Genève, SuisseL’identité On aimerait parfois être autrement, autre… comment savoir ce qui est bon pour nous? Le regard des autres nous aide-t-il ou est-ce qu’il nous enferme ?
Parlotte des Théopopettes « Chut faut pas le dire »
Auditoire de Calvin Place de la Taconnerie 1, Genève, SuisseLe secret Le secret: un mot terrible et frappé d’interdit. Il est des secrets légers et drôles qui aident à grandir et d’autres qui sont une menace et peuvent même empêcher de vivre. Dans tous les cas, la parole libère: mais à qui s’adresser ?